
La RDC a atteint et dépassé la barre de 7000 cas mais le relâchement dont font montre certains Kinois inquiètent plus d’une personne. 72 heures après le déconfinement de la commune de la Gombe, bon nombre des Kinois sont soulagés à l’idée de pouvoir vaquer à nouveau à leurs occupations oubliant au passage, le respect des gestes barrières qui est censé demeurer de rigueur.
Le bulletin quotidien du comité multisectoriel de lutte contre le Coronavirus en RDC du mercredi 1er juillet a recensé 67 nouveaux cas dont 49 à Kinshasa.
Du 10 mars au 01er Juillet derniers, le cumul de cas en République Démocratique du Congo s’élève à 7 189 dont 6323 à Kinshasa. Ces statistiques démontrent à suffisance que Kinshasa demeure la province la plus touchée nonobstant l’incrédulité de ses habitants.
Si les écoles, les églises et les bars restent fermés, les marchés, eux, sont ouverts, à l’exception du grand marché qui lui, reste fermé pour des raisons de réhabilitation. Des grandes artères sont côtoyées par des personnes qui en majeure partie, observent tout sauf les règles d’hygiène.
A certains arrêts de bus, les gens pressés de rentrer à la maison oublient que plus on se bouscule, plus vite, on trimballe le Coronavirus à la maison ce, aux risques et périls de ses proches.
Il convient de signaler que d’autres communes vivaient déjà au rythme quasi-normal pendant que la Gombe était mise en quarantaine. Les embouteillages et circulations intenses sont bien au rendez-vous.
Les Kinois saisissent-ils la mesure des enjeux sanitaires actuels ?
Les policiers et les agents de service sanitaires déployés en masse dans toute l’étendue de la ville pour veiller à l’application de mesures édictées par le gouvernement Congolais sont à ce jour à compter du doigt et semblent ne plus avoir de zèle.
Des Kinois contactés par Congo courriel ont plaidé pour le suivi et la reconsidération de cet aspect qui, s’il est ignoré, pourra enfoncer la République Démocratique du Congo dans une crise sanitaire sans précédent et de loin plus grave que l’actuelle.
Toutefois, on ne devrait pas attendre d’être réprimandé pour veiller sur sa sécurité sanitaire.
Clarisse Mulenda
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