
Le ministre de la Décentralisation et Réformes Institutionnelles Azarias Ruberwa est depuis peu, victime des personnes mal intentionnées qui trouvent un vilain plaisir à le traîner dans la boue.
D’abord donné pour mort suite à une supposée attaque de sa résidence de Kinshasa, Me Azarias Ruberwa s’est vu ressusciter par ses détracteurs qui ont vite pris soin de le présenter sous deux costumes, celui d’un homme à l’agonie atteint du Coronavirus et celui d’un geôlier possédant une prison secrète dans sa résidence, laquelle a été découverte par la police; occasionnant l’encerclement par les forces de l’ordre, de la résidence du ministre d’État.
Face à ces rumeurs alimentées de plus bel, l’Asbl « les amis d’Azarias Ruberwa Manywa » à travers son président Me Idriss Okenge tient à préciser à l’opinion tant nationale qu’internationale ce qui suit: « La résidence du Ministre d’État Ruberwa n’a jamais fait l’objet d’un encerclement quelconque par la police; elle n’a jamais servi de prison et personne n’y a jamais été détenu. » A ce sujet, Me Idriss Okenge met au défi toute personne affirmant en posséder la moindre preuve et l’invite à la fournir.
Se référant à la santé du ministre, Me Idriss se veut rassurant, « Me Azarias Ruberwa se porte à merveille et pour preuve, il a pris part au conseil des Ministres restreint présidé par le président de la république. Comment quelqu’un qui est atteint du Coronavirus a-t-il pu prendre part au conseil des Ministres auquel 10 ministres seulement étaient sélectionnés ? Comment un individu accusé de séquestration continue-t-il à jouir de sa liberté ? Comment a-t-il fait pour sortir de sa résidence supposée encerclée, pour se rendre à la réunion de la commission-Loi à l’immeuble du gouvernement samedi 18 avril ? »
Par ailleurs, Me Idriss Okenge condamne fermement ces agissements et met vivement en garde leurs auteurs ainsi que tous ceux qui prennent un malin plaisir à répandre ces rumeurs qui du reste, sont diffamatoires et dépourvus de tout fondement factuel. « Les réseaux sociaux ne constituent nullement « une zone de non-droit en RDC. La cybercriminalité est punissable et ses acteurs poursuivables en droit Congolais. Ils feront moins le malin lorsqu’une invitation leur sera adressée par les instances judiciaires compétentes un de ces quatre matins. »
Les usagers des réseaux sociaux sont donc invités à avoir un esprit critique plus affûté envers le lot d’informations auquel ils font face.
Clarisse Mulenda